En tuant la concurence natinale, et donc les différences de prix, le consommateur français va se tourner vers des plus grosses entreprises mondiales (américaines ou chinoise) pour acheter au moins cher les mêmes produits. Mais voil, une entreprise mondiale doit t'elle être le modèle recherché aujourd' hui ?
La diversité de l'inovation, de la créativité repose sur un ensemble d'entreprises cohérentes dans leur démarche commerciale et avec le respect de leurs clients. Il est vrais, qu'hélas, la france n'est pas du tout positionnée sur la fabrication du matériel numérique : la pandémie va t'elle changer quelque chose ?
Doit t'on continuer cette stratégie du toujours plus gros. Doit t'on continuer à laisser des monopoles mondiaux à des conglomérats aux pieds de géants (plus riches que certains états...) ?
En attendant le consommateur devra se responabiliser. Il n'y aura pas d'alternative à avoir dans notre consommation, qu'un un ralentissement d'acquisition de biens obsolescents ou sans véritable usage.La surconsommation va bientôt être de nouveau un terme en première ligne dans notre élan 'écologique"
Rappel : un virus peut engendrer un chambardement mondial en l'espace de quelques mois et nous avons du mal de résister, malgré notre savoir et notre civilisation technologique. Alors ?
Retour en arrière ou bond en avant dans le monde virtuel-numérique-hyper protecteur-esclavagiste ?
(1)Le Groupe LDLC est un groupe français de commerce en ligne, créé en 1996 par Laurent de la Clergerie. Il est classé 5e en France par la FEVAD en 2016. Son enseigne majeure, LDLC.com, se positionne comme acteur majeur du commerce en ligne informatique et high-tech en France. Constitué de multiples marques dont cinq sites marchands, ce regroupement d’entreprises conjugue des activités dans le domaine de l’informatique, du high-tech ou encore de l’éducation.(WIKIPEDIA)
(2) autres sociétés du groupe : Anikop, DLP-Connect, HardWare.fr, LDLC.com, LDLC.pro, LDLC Event, L'Armoire de Bébé, L'École LDLC, BIMP, Materiel.net, Solaari, Nemeio.